Anegada, la dernière de nos escales aux BVI, A faire ou non, j'ai aimé sa solitude, son côté originel et peu touristique, José moins, rien d'autre à voir que du sable plus blanc qu'ailleurs, de l'eau plus bleue, et toujours des plongées magnifique sur une barrière de corail assez peu touchée. Malheureusement pour nous, notre appareil de photo sous-marin ayant rendu l'âme, il ne nous reste que de beaux souvenirs. 

Plus ou moins 200 habitants sur ce plateau corallien, si plat qu'une "terrasse sur pilotis" a été aménagée pour les habitants en cas de tsunami. Quelques resto-langoustes pour touristes qui viennent passer la journée, quelques loueurs de scooters qui supportent vaillamment tant le climat corrosif que nos kg sur des amortisseurs fatigués. Une route unique, sinon des pistes.

Au milieu de l'ile, une réserve naturelle abrite à la saison une colonie de flamands roses et autres oiseaux migrateurs. Dommage pour nous, mai n'est pas la bonne période pour les observer.

Les frégates sont toujours là au retour de pêche, prêtes à chiper au vol les entrailles des poissons que les pêcheurs leur donnent.

une adresse plutôt sympa pour déjeuner, il faut aller au petit snack tenu par une mamie tout à fait au bout de l'ile côté Loblolly bay, Elle sert ce qu'elle a et ce jour-là, "menu hamburger américain", mais avec une telle gentillesse. Ne pas être pressé, d'ailleurs, elle vous dira "d'aller vous baigner, qu'elle vous appellera lorsque ce sera prêt".

Bref, une escale pour amoureux.

Mais notre séjour au BVI doit se terminer, le visa d'un mois arrive presque à son terme et il faut pense à rentrer doucement. On commence à pister la météo, éspérant pouvoir passer par les iles du Sud que nous ne connaissons pas: Saba, St Eustache, St Kitts et Nevis, et Montserat. Nous ne le savions pas encore, mais comme toujours, les programmes sont faits pour être modifiés...